06/07/2010

Bac à sable.

Depuis 10h - bon ok j'exagère, depuis dix heures trois quart - je suis quasi bombardée de textos de copains terminaleux qui m'informent en tout bien tout honneur, de leur réussite. "J'ai mon baccalauréat", pullule dors et déjà sur les statuts FB. Et que dire? Félicitations, je suis fière de toi, enfin non je m'en fous, mais je peux faire semblant.

Et du coup, bah je repense à mes propres péripéties qui datent d'il y a un an déjà. Alors que dire? Bien sûr nous, les ES de M.D on puait le fennec. Nos résultats n'étaient dont pas publiés au lycée même, mais quelque part, au pays des pecnos. Et avec mes deux camarades de spé anglais, on étaient hyper stressées, normal. "J'aurais jamais le courage de passer les rattrapages", et s'en suivirent moults lamentations de premières de la classe à lunettes apeurées, et surtout, à vomir quand on y repense.

C'était un peu comme l'ouverture du marathon. Des milliers de candidats, qui attendent l'ouverture de la grille, tout comme ces coureurs qui attendent le signal de départ. A vos marques, prêts, partez. Ouverture des portes, sprint, cris de joie et sauts de lapin. "Maman, j'ai mon bac!" et quarante-six textos plus tard, c'est la consécration. La fin d'une vie, et le début d'une autre. Celle des études sup', où on se rencontre que bah... On était pas au bout de nos peines.


Rendez-vous sur Hellocoton !

2 commentaires:

Alison a dit…

On n'a pas de "bac" en Belgique, ou en tout cas, pas à proprement parlé, juste une sorte de diplôme... Un an puis c'est mon tour :) (Ou alors, 2 mois et puis je commence)

Coccinelle a dit…

Que d'émotion, de calins et de sanglots, de rires et de pleurs, de joies et de peurs... hihihi **nostalgie du bon vieux temps**
<3<3<3