29/04/2010

Je crois que j'ai un problème de concentration.

Nan mais c'est vrai. Genre je travaille deux heures, et bam! un coup de passe-passe, et j'me retrouve devant l'ordi. Bref, aujourd'hui le programme c'était la géographie, quatre chapitres sur sept sont enregistrés dans la carte micro SD de mon cerveau (si, si, j'en ai un!), mais c'est trop peu. Tant pis, j'continuerai demain en grignotant sur le programme de lettres.


Bref, si j'ai la flemme de bosser, autant écrire un article ici. Que dire? En ce moment (enfin... quand j'ai pas la flemme), le vélo est devenu mon meilleur ami, et c'est fou les endroits que l'on peut découvrir à quelques mètres de chez moi. Un jour, j'ramènerais mon appareil photo pour vous montrer tout ça, ainsi que mon nouveau perfecto en jean déjà customisé, que j'ai acheté pour une bouchée de pain.

Ah, et je pourrais aussi vous dire que la semaine dernière, en me réveillant dans ses bras, jamais (enfin si, mais pas aussi prématurément) je n'aurais pensé que quelques jours après, ça serait fini. Ben si, et c'est con pour moi, mais au moins, j'aurais eu un début de vacances palpitant, et surtout hors-norme. Et tout ce que je sais maintenant, c'est que 1) je n'aurais plus jamais de nouvelles de lui, comme s'il n'avait jamais existé, et 2) je ne pourrais plus regarder la Nouvelle Star comme avant (ou du tout, tout court).

Voilà, voilà.
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25/04/2010

Don't call my name.

J'écris en moyenne dix articles par mois. J'en suis à six. Après vous avoir exposé les caractéristiques bidons de la bonne copine, fait part de mes délires capillaires, plus ou moins évoqué l'idée d'un boyfriend et raconté mes aventures lilloises-de-pseudo-comédienne-bon-public, me revoici à l'attaque. Le truc c'est que depuis quelque temps, je n'écoute que de la musique de merde, plus commercial que ça tu crèves, et que j'ai beau être entouré, y a toujours ce vide qui fait que je passe mes journées sous la couette... à écouter de la musique de merde.

(j'ai beau chercher, j'trouve pas d'explications x))

Et ainsi de suite. J'vous laisse donc en compagnie de mon Tumblr #2. Et y'a du nouveau :)

Sale geek.
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24/04/2010

La bonne copine

Tous les gens de bon goût ont forcément déjà dû lire cet article, signé Le Reilly, reblogué (dans le même sens que retwitté LOL) chez le Shaton. Et donc voilà, il y a cette question qui trotte dans ma tête depuis hier: y a-t-il des ressemblances entre l'amoureux platonique et la bonne copine?

Pour faire vite et simple, en deux mots, l'amoureux platonique entretient une relation un peu ambiguë avec son "amoureuse platonique" parce qu'ils sont amis, ou un toutipeu plus, et que donc, ils ont cette complicité qui fait qu'il n'y a aucune gêne entre ces deux êtres. Seul hic, la fille est casée, et le mec sert davantage de kleenex, alors que Dieu sait très bien qu'il ne veut pas avoir ce rôle.

Eh ben ma foi, je pense qu'il y a des similitudes avec le cas de la bonne copine. Comme je suis une experte en la matière, je vais vous décrire la vision des choses que j'ai du cas de cette pauvre fille. La bonne copine est gentille, super tordante, pleine d'énergie, et débordante d'idées farfelues (bon, j'arrête, on dirait moi). Et surtout, surtout... Elle est super croc d'un gars. De ce gars, beau, charismatique, populaire, qui possède toutes les caractéristiques du mec paraplégique qui ne réagit à aucune des perches qu'on lui lance (bon, j'arrête, on dirait le heartbreaker). Pour la fille, une seule solution s'impose donc: faire connaissance, en toute innocence, avec l'objet tant convoité, puisque de nos jours, un simple "salut, tu veux sortir avec moi?", ne suffit plus.

C'est le début de l'épopée. Comment trouver le moyen d'adresser la parole à un bellâtre qui ne voit pas plus loin que son ombre? Heureusement, ou pas, que les médias sociaux se démocratisent de plus en plus, ainsi que la chasse du "plus grand nombre d'amis sur FB".
Avertissement: tous les noms de lieux, personnes et évènements ont été modifiés ou abrégés afin de protéger les innocents. En l'occurrence, moi.
Étape #1: Faire une demande d'ajout d'ami.
Étape #2: Une fois la demande acceptée, les moults cris (de joie) poussés, envoyer un MP en lui demandant, le plus naturellement possible, de faire connaissance.
Étape #3: Une fois la réponse reçu et tout le toutim qui suit, inventer une excuse pour avoir son numéro de portable. Et ainsi de suite.


Le plus dur est fait
, la fille a son numéro, et miracle, le courant passe plutôt bien. Tellement que le mec commence à se livrer à la fille. "J'ai rencontré cette nana en Sicile, tu sais et..."

C'est le début des emmerdes.
Le mec paraplégique des sentiments s'avère posséder un coeur, et la fille un pois à la place du cerveau, car c'est là que vient le rôle de la bonne copine. Elle le rassure, en lui disant qu'il trouvera quelqu'un d'autre parce que c'est un mec génial. Tellement génial, qu'il remercie la fille d'un gros câlin et retourne voir ses potes. Jusqu'à ce qu'il revienne la taquiner, avec ses bisous, ses mots doux, comme ça l'air de rien.

Dans ces cas-là, comment la fille peut-elle croire que jamais rien ne va se passer entre eux? Vient donc le moment où elle se jette à l'eau, souvent d'une façon un peu brutale. Et la coquille, jusqu'alors entre-ouverte, du mec paraplégique se referme, à jamais. "J'suis désolé, je voulais pas te faire de mal". Ou comment six mois de perches tendues sans espoirs, de stratégies mises au point pour croiser le regard de la dite personne à un moment névralgique, et d'achat de magasines pour filles gnangnan en manque de Jules n'ont servi à rien. Retour à la case départ, sans oublier le périple kleenex-j'en-ai-marre-de-la-vie-fuck-off.

Dans les deux cas, la personne se retrouve seule, un peu démolie. Elle se rend compte que cette pseudo relation n'était finalement que creuse, sans résultats concrets à la sortie. Et pourtant, que ça soit le heartbreaker ou l'amoureuse platonique, il n'y a aucun remède pour éviter ce genre d'espèce (en voie d'expansion). Comme s'il n'y avait pas de leçon a en tirer, on en rencontrera encore, et encore.
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23/04/2010

J'ai envie d'écrire.

Mais écrire juste pour ne rien dire, parce qu'au fond, c'est ce que je sais faire de mieux. Écrire pour ne rien dire, sans entrer dans les détails de ma petite vie de banlieusarde en vacances à mi-temps car concours blancs à la rentrée. Ouais, c'est bon, je l'avoue, je suis plus souvent calée sous ma couette devant Grey (ma nouvelle lubie) que sur mon bureau, Vichy, 1940-1944 de Jean-Pierre Azéma dans la main. Mais ça viendra.

*soupiiiiiiiiir*
Bref, petite pause, j'me recoiffe à la ouanaigaine. T'façon, y a que ça de bon, le coiffé-décoiffé. Me dis pas que tu n'as jamais remarqué toutes ces filles au chignons informes, mais néanmoins totalement classes, qui leur donnent un air de... "je suis belle dans n'importe quelle situation". Ou encore ces filles, dont je fais désormais partie, qui arborent la tresse sur le côté, légèrement desserrée. Avoir l'air d'une bobo-branchée, ça peut être cool, mais avoir à se recoiffer toutes les cinq minutes, y a plus rentable comme activité (et moins ennuyeuse pour le copain).

Halloween?

Le coiffé-décoiffé implique donc une technique, et une méticulosité (j'espère que ce mot existe) d'enfer. Ça donne un style, un genre, une classe. Le tout est de ne pas tomber dans ce que peut entraîner le vrai coiffé-décoiffé, à savoir le laisser-aller. Parce qu'il faut le dire, le coiffé-décoiffé, c'est bien pratique pour les jours de grèves capillaires, et autres combats mêlant épis, bosses, pellicules, graisse et autres immondices humaines des mauvais jours. Et vu mes fourches que je mate en cours de lettres (mea culpa, serais-je une mauvaise hypopo?), il serait temps que j'arrête cette activité et me prenne (enfin) en main. Une solution s'impose donc: le couaffeur. Mais ça, c'est une autre histoire.

Ce fût donc un billet (f)utile aujourd'hui.
Merci de votre attention.
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22/04/2010

Symptome #2: Volonté de tout (trop) bien faire.

Après quelques mois de galère, un regard a fini par se poser sur la pauvre personne que je suis... à un moment où je n'y attendais pas du tout. Comme quoi, c'est quand on ne demande rien que ce genre de chose arrive. Mais bon, je vais pas me plaindre. Juste me contenter d'en profiter autant que je le peux, maintenant. Parce que tout semble parfait, comme si... il avait accès à toutes mes pensées, et réalisait tous mes désirs. Ça semble tellement irréel que je me demande si je ne suis pas en train de rêver...

Tout ce que je sais, c'est que je ne sais pas où je vais.

Symptôme #3: le doute?
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20/04/2010

Symptome #1: Le sourire niais.

Un peu de narcissisme pour commencer.
(j'suis trop "in" tavu, j'ai essayé la tressesurlecôtéfaçoncoifféedécoiffée :D)

Il fait beau. Très beau. Très (trop) chaud. Le ciel est bleu, et ne décèle aucune imperfection. Et les cerisiers de mon jardin fleurissent. Ça donne envie de faire des photos. Des tonnes de photos. Encore faut-il que je charge les piles de mon petit APN. Et c'est pas le temps qui me manque, puisque, naturellement, je suis en vacances.

Ok là, tu me détestes.

Je sais pas trop ce que je vais pouvoir raconter dans ce post. Pourtant, il y a bien longtemps que j'ai déserté ce refuge, dans lequel il m'arrivait trop (peu) souvent de me défouler. Si je n'écris que pendant les vacances, j'ai aussi remarqué que les raisons pour lesquelles j'écrivais ont aussi changé. Avant, dans le secondaire, je ne cessais de critiquer ma classe, et le nombre incroyable d'imbéciles que contenait mon lycée. J'pourrais faire la même aujourd'hui, ou pas. Faut croire qu'avec le temps, j'ai compris que des imbéciles, il y en a partout, et qu'il suffit juste de passer son chemin. Quand je repense aujourd'hui à mon complexe d'infériorité, alors que les gens auxquels je me comparais ne sont au final que des lâches qui fuient la réalité (encore pire que moi), ça me fait sourire.

Je sais, j'écris pour ne rien dire.
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19/04/2010

Dans l'ordre...

#1: Sciences Po' Lille, actuellement le quatrième concours que je passe (et que je ne vais pas avoir). Faut l'dire, Lille, c'est moche. Du moins la partie que j'ai vu. Des gares Lille Europe et Lille Frandres, jusqu'à la faculté de droit. Disons que je suis plus immeubles modernes que briques rouges, et beaux bruns barbus que mecs de cinquante ans foncedé. Héhé. Sinon, autant pour Lyon j'étais pas stressée du tout, attendant nonchalamment que la fatalité s'abatte sur moi, autant là j'étais stressée comme jamais. Les minutes qui se sont écoulées entre la distribution des sujets, et le moment où l'on nous autorisait à les retourner étaient juste insupportables. Heureusement que le n°224 et son superbe accent des Landes-han étaient là pour me rassurer (sisi, ça existe). Un khâgne, pas très sérieux, mais plutôt drôle, et accessoirement mignon (oui il m'en faut peu), qui est deviendu un ami FB, juste parce qu'il m'a dit "à bientôt", et non pas "au revoir". LOL

#2: Dantons Tod, 2è représentation. Après avoir joué devant le quart du sixième des élèves de mon bahut, nous revoilà sur scène, devant les parents/amis. Seul hic, la fille la pluuuus adooooraaaaable de la "troupe" a eu une crise d'asthme et est clouée au lit... "S. vous reprendrez son rôle", dixit le pluuuus adoooraaaable des profs d'allemand, à deux heures de la représentation. Haha. Hum. Au final, on s'est partagé son rôle avec une autre fille. Elle, ayant le rôle le plus "ridicule" disons de la pièce (en gros, se faire trainer sur scène et recevoir des coup de pieds, youhou.), et moi, celui de la tepu bourrée. Et il paraît que ce rôle m'allait bien. Beaucoup mieux que celui de l'héroïne tragique qui se fait plaquer dès la première scène, et se suicide à coup de Volvic à la fraise à la dernière. Comme quoi, hein.

#3: Parlons ciné maintenant. Et désolée de vous décevoir (genre), mais je ne suis pas allée voir Remember Me, ce que néanmoins je devrais faire très vite, histoire de savoir si je dois ou non accrocher ce méga poster de l'affiche du film que mon frère m'a ramenée de sa cafet (wouhou), sur les murs de ma chambre (et donc accessoirement de commencer la déco de ma chambre). Et donc, c'est New-York I love you que je suis allée voir, avec tout pleins d'acteurs connus, qui se croisent à travers plusieurs histoires d'amour, un peu à la manière de Ce que pensent les hommes et Valentine's Day. De tête: Orlando Bloom, Hayden Christensen, Shia Labeouf, Bradley Cooper , Ethan Hawke, Natalie Portman, Drea de Matteo (Angie Bolen dans la saison 6 de Desperate Housewives) que l'on apprécie de voir dans un autre jeu. Bon sauf pour Bradley Cooper qui joue encore le chaud-lapin, et surtout Blake Lively, et sa tignasse blonde, parfaite pour des rôles de putafrange :)

Sinon, c'est les vacances, le printemps, y a du soleil...
et tout va bien
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06/04/2010

Work this out.



A boucler avant les vacances de Pâques.
xoxo
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