Dernier article... de cette année !

From Muteen.

Un dernier article pour terminer en beauté cette (merveilleuse?) année 2009? Voir même la fin d'une décennie? Mmh... je sais pas. Comment écrire un article original, quand on sait que la moitié de la blogosphère a été, ces derniers jours, prise d'élan pour toute sorte de TOP des dix/vingt/cent (time (mouahaha)) meilleur(e)s chansons/clips/films de l'année? En plus il paraît que j'ai un trou de la taille d'un point* concernant ma culture musicale et filmesque - ce qui est vrai, je vous l'accorde - donc imiter ce que d'autres ont fait ne servirait à rien.

* * *

Des liens se cachent derrière certains mots...

Donc, what happened en 2009? La mort de MJ, eukécébon on a compris, la prise des fonctions du nouveau président américain et toute cette Obamania-sulfureuse-on-vous-l'échange-contre-Sarko-et-un-paquet-de-chips*, le come-back de la marinière, et de Gérard de Palmas, et de Diam's, la victoire de Soan à la Nouvelle Star, et j'ajouterais même la mode des Wayfarer de vue à la Camélia Jordana, Slumdog Millionaire et la reprise de Jai Ho des pussypoufs*, sans oublier les rumeurs concernant le salaire des petits acteurs, 90210 et certainement bien d'autres choses plus... intéressantes comme les vingt ans de la chute du Mur, le clip de l'UMP* ou le buzz autour de la grippe porcine (vaccinée!). Et me concernant (un peu, quand même), le voyage à Berlin, le bac, les dix-huit ans et la carte bleue qui va avec, et le code et le permis que je n'ai toujours pas.

* * *

Et puis, faut pas l'oublier, ils l'ont tous dit: 2009 que du neuf. Sur ce coup là, j'ai pas été épargnée malheureusement: nouvelle maison, nouvelle ville, nouvel habillage de blog, nouveau lycée. J'aurais perdu mes repères cette année. M'enfin, un mal pour un bien comme on dit.

Sur ces belles paroles inintéressantes, je vous dis... à l'année prochaine !

Quand la feignasse sort de son trou...

J'espère que vous allez bien. Parce que moi, oui. J'ai presque retrouvé ma voix pour le plus grand désespoir de ceux qui pourraient se sentir concernés. Par contre, j'ai mal aux jambes. Parce que oui, j'ai finalement décidé de bouger mon derrière pour aller à la conquête d'un certain bouquin que je devrais peut-être lire pour un certain DS d'Histoire. Oui, back to reality, les vacances sont PRESQUE over (heureusement qu'il reste le 31, m'enfin...). Au bout de la troisième Fnac, je l'ai enfin trouvé. Quelques larmes de joies ont coulé toutes seules après des heures et heures de recherche et prières à l'intention de ces moults Dieux et esprits qu'il puisse exister (ou pas).

Anyway, il s'avère que cette Fnac magique se trouvait à deux pas des Galeries Lafayette (petit souvenir de la venue des corres' allemands en seconde). Depuis le temps que je voulais voir les décos de Noël, du rose et des nounours trop choupichous ! Enfin, la séance photo fut néanmoins de courte durée, faute de touristes un peu trop gaga (dont je fais totalement pas partie, I swear) qui prennent vraiment beaucoup trop de place.

Donc voilà, minute photos, puisqu'en ce moment c'est la mode (big up à l'article de Muze) de poster des photos des vitrines de Nouel, notamment les siennes. But I do not have photoshop, sorry (le franglais, ça doit être l'effet séries en VOST que je me mange depuis dix jours :D).

De la lecture m'attend, à plus !

Le père noël est une ordure.

Une semaine que je me balade avec tantôt la voix de Jeanne Moreau, tantôt un trombone mal réglé, et je supporte de moins en moins mes nouveaux surnoms tels que "Terminator". Le pire je crois, c'est que j'ai pleins de blagues de merde, mais personne ne les entend.

J'envisage d'apprendre le langage des signes.

I'm just a (little) girl

Moi, ça m'donne envie de boire du Coca.

Ça y est on est le 24 ! Bon, perso, pour moi ça change pas grand chose, mais célébrons la commercialité de la fête, ça nous fera pas de mal. Alors, aujourd'hui, le Santa Claus ne doit plus vraiment se sentir. Il est même plutôt débordé le pauvre. Entre faire pleurer les pauvres bébés dans les centres commerciaux, taper la pose, et assouvir la soif de cadeaux de toutes ces pourries gâtées, y'a de quoi s'occuper.

Et vous les cocos, vous avez été saaaages? Moi oui, comme d'habitude. J'ai juste pas beaucoup travaillé pour fortifier mon sommeil, délaissé mes cheveux pour dormir plus le matin, oublié de repasser mes vêtements pour me coucher tôt le soir, et snobé (depuis trop longtemps) le cinéma pour cause de flemme.

C'est pourquoi, je voudrais (si c'est pas trop tard), le nouvel album des Franz Ferdinand (que je n'ai toujours pas - ahah) pour avoir la pêche dès le matin, un fer à lisser ma tignasse (un vrai cette fois-ci), pleins pleins de vêtements tellement doux et confortables que j'aurais pas besoin de les repasser, et un abonnement à UGC. Tout simplement. Ah et une voix. J'en ai marre qu'on m'appelle Terminator.

Pour la forme, soyez heureux avec les gens que vous aimez, et si possible autour d'un bon repas. C'est pas tous les jours que se péter le bide est permis.

Joyeux Noël
et bonne fête aux Noël :)

C'est providentiel.

Image_flickr

Il est deux heures et j'entame mon troisième jour d'hibernation sous la couette. Même que je dors avec mon slim noir acheté chez Etam. Ma chambre est un vrai dépotoir. Mon esprit aussi. J'ai honte. Deux mois que je lui avais pas parlé, pour cause de fierté mal placée. Mais j'ai fini par baisser la garde. Qui sait, depuis tout ce temps, on avait peut-être des choses à se raconter... Eh bien non. Des conversations banales, dignes de celles que l'on a avec les coupains de maternelle qu'on retrouve sur FB. Mieux que rien? J'aurais préféré ce rien, un long silence, un snobage intense et réussi, plutôt que ces quelques mots pathétiques. Pourtant, je suis pas folle. Ses signes, je les ai vus. Et à l'autre aussi. Mais rien ne correspond.

Et si demain était le premier jour du reste de ma vie..?*

Push it push it.

L'habit ne fait pas le moine et il ne faut pas se fier aux apparences. En clair, le gossederiche n'en est pas vraiment un et je serais pire qu'une langue de tepu si je devais (tout) critiquer (et je ferais vieille mégère mal-aimée aussi...). Enfin bref, certes il y avait une vraie table décorée, avec un vrai repas (et pas des curly à manger entre danses), des mecs en polos et des filles à sequins, du vrai ponch et des spots, mais quoi? Il n'y avait rien d'étonnant.


A part peut être le mini-concert (et le bel Edouard, et le fait que sa mère nous ait ramené et que j'ai appris qu'on avait grandi dans la même ville *_*). Lui à la guitare, au synthé, à l'harmonica (ouioui), sa copine au chant et les deux autres à la basse et à la batterie. Mes deux potes, eux, ne se sont pas gêner pour bailler entre deux gueulantes, mais moi j'ai bien aimé. T'façon, dès que ça en jette un peu et surtout dès que je vois ses poils de torse (au batteur), j'aime. On va pas dire que je suis difficile.

Et puis, c'était sympa de voir les hypokhâgneux sous un autre jour. Il paraît que ça avait déjà bien bougé à la soirée des prépas éco qui est, genre, la soirée que je loupe à chaque vendredi soir de vacances, mais bon. La prochaine fois, je la manquerais pas. Entre G. qui est devenue la tête de turc de tous, C. qui nous a révélés sa vrai personnalité, F. qui fait croire qu'il connaît la vraie vie, et R. qui est en fait une vraie lopette, il y a eu de quoi nous assouvir.

Et même qu'entre deux reprises d'Aerosmith, on a pu entendre ça:

Bon, faut que j'aille retrouver la voix que j'ai perdu.

Je ne suis plus en Hypokhâgne...

... pendant DEUX semaines *_*

Howdy les zamis comme dirait l'autre gossederiche..! La soirée approche, et tous les coupains attendent ça avec impatience, histoire de fêter les vacances dignement !

Moi en vacances, je le suis depuis hier 13h, après une super semaine de concours blancs (on se passera des détails c'te fois-ci...). Même qu'après je voulais aller à Paris, me promener sous la neige et prendre de jolies photos. Mais le destin (ou le complot qui se trame contre moi depuis quelque temps) en a voulu autrement. Une semaine que les cheminots font grèves DONC pas de RER A DONC pas lèche-vitrine en perspective. M'enfin, je suis en vacances, c'est le principal. Même que je suis enfin réveillée, que je me prélasse sous la couette, que je regarde des séries et des films, et surtout, que je me couche tard sans avoir peur d'être fatiguée le lendemain (oui, le Shaton a beaucoup d'influence sur moi...).

Bon, il est 15h, et c'est l'heure d'aller faire les magasins :)

Material girl

Cadeau de Noël en avance ou cadeau d'anniversaire en retard, comme vous voudrez. Mais je l'ai enfin! De quoi? Mon nouvel amant. Nan, mon deuxième nouvel amant en réalité. Voui, j'suis qu'une pauvre matérialiste qui place ses nouvelles acquisitions au même rang que ses meilleurs potes. Ce qui veut donc dire que je m'y attache très vite, et que j'ai du mal à m'en séparer.

Exemple de my first mobile phone. Mein erstes Handy. Un petit Samsung offert par Popamoman en quatrième. 13 piges, des bagues et un look vestimentaire plutôt douteux. Portable donc, que j'ai gardé jusqu'à mes 17 ans et 11 mois, en bon état. J'voyais pas l'intérêt de le changer alors qu'il fonctionnait encore (certes, il est tombé dans le coma moults fois, mais alors?). C'était peut-être la sortie à la Cité des Sciences en classe de seconde qui m'a permise de résister à la tentation*. Mais quoiqu'il en soit, j'ai fini par céder, voire même copier les gens. C'pourquoi mon frère et moi avons le même portable maintenant, pour son plus grand désespoir (ahah).

Nouvelle acquisition, aujourd'hui donc. Un cadeau spécialement spécial (écheeer) pour mes 18 ans (parce que, oui, j'aurais très bien pu demander à l'équipe de D&CO de venir transformer ma "chambre" en palais royal, mais... non). J'ai nommé:

(rho p***** c'est quoi c'te qualité pourrie?)

MonamiToshiba :)

(et les feuilles autour c'pour faire genre "jerévise" :D)

*Ben voui, pour construire un portable, il faut percho un ketru qu'on ne trouve que dans la forêt, et en deffrichant la forêt, eh bah les tits gorilles tout choupichou se retrouvent à la rue..!

Et même que c'est même pas un article sponsorisé.

Lonely girl...

(je sens que l'ordi portable bien au chaud sur mon bureau va donner des articles tous les jours (pour votre plus grand désespoir)

(ahah))

J'aurais eu les moyens d'aller à l'internat du bahut, je pense pas que j'aurais dit non. Ca doit être cool d'habiter toute seule, sans popamoman sur le dos. Avoir une vraie vie d'étudiante indépendante. Je repense souvent aux concours que j'ai raté, et à la vie que j'aurais pu avoir, seule à Lille (bave). Mais bon, faut croire que je ne sais pas ce que je veux. Ca fait même pas un jour que je squatte cet appart que je veux déjà rentrer. En fait, non. Je veux pas rentrer. Juste que je me sens seule. Y'a pas un bruit, et comme c'est pas chez moi, j'ose pas bidouiller la radio et mettre le Mouv' à fond. Et puis, je suis censée travailler. Mais cette année, c'est comme ça, j'arrive pas à me concentrer plus d'une heure. Cégrave, docteur?

Let's go pour un autre plat réchauffé à manger devant PBLV

(ça par contre cécool).

La liste.

Ce soir, je change d'environnement. C'est peut-être ça qui me donne envie d'écrire. Toute seule dans un appart' loin de popamoman. Grey's Anatomy en bande son (même que Christina a failli crever étranglée (ça rassure pas)). Et demain c'est le premier jour des concours blancs. J'aimerais bien parler d'autre chose que de la prépa. Et surtout, SURTOUT, de mes sautes d'humeur (petite pensée à ceux qui supportent (mal?) mes "oui ça va ménon jenémarredetout").

J'comprends pourquoi les deuxièmes années se détestent. Pourtant, rien ne les prédestinaient à ça. C'est vrai, et je l'ai même raconté: au début de la prépa, tout le monde s'adore. Genre c'est le pays des Bisounours où tout le monde se fait des câlins. Puis les gros nounours colorés se transforment en langue de tepu (excusez cette trivialité). La raison? Un anniversaire. Ou plutôt la volonté d'avoir le meilleur anniversaire auquel vous n'êtes jamais allés. Biensûr, celui du gossederiche. Au programme: une salle (Papa ne sait pas encore laquelle), de la musique (voire même la présence d'un groupe), et à boire (pour laquelle il faut payer, of course). Ca donne envie, hein? Et pas qu'un peu (enfin, sauf pour la boisson. Les radins ont toujours été des incompris d'la vie). Pour éviter la pagaille, Papa va servir de videur (ou va engager quelqu'un) et tiendra une liste. Une liste d'invités pour laquelle les gens se sont damnés pour s'y inscrire (un peu comme pour être la secrétaire de Miranda). D'ailleurs, Papa a affirmé qu'il y avait trop de monde et que certaines personnes seraient dans l'obligation de se désister. Face à toute cette beauf-attitude, forcément ça parle. Un peu. Beaucoup. Enormément.

Je parle. Un peu. Beaucoup. Enormément.

Et biensûr, je fais partie de la liste.

Ou LE truc qui sert à rien...

Pour continuer dans la lignée des articles-pourraves-et-tristes-d'une-HK-en-manque-de-vie-sociale-et-SURTOUT-de-motivation, j'ai oublié de vous informer d'un évènement majeur. Mais MAJEUR keuâ ! Le genre d'évènement qu'il m'aurait été impossible d'oublier les années précédentes, ma mémoire en béton étant justement en béton (nuuul). Faut croire que j'ai un retard partout. Les films, HIMYM, les devoirs mêmes. Bref, quoiqu'il en soit...

JOYEUX ANNIVERSAIRE
(en retard, of course)
MON BLOG !

Wahaha-hem. Oui, UN AN que je raconte ma vie sur Blogspot (à défaut d'avoir acheté un journal intime entre temps). La petite Terminale ES frustrée des DST de philo est devenue une jeune hypokhâgneuse frustrée des colles de philo. Ahah. Mais comme je ne suis pas qu'une pauvre geek qui pense qu'à sa personne et à l'anniv de ce blog (c'était le 28/11 pour la précision), je souhaite également un Happy B-DAY (comme on le dit maintenant) à ma M.A ! Cébon, on est presque toute majeure. ça change rien à la vie, mais cépagrave :)

Les concours blancs arrivent, et vous?

Weaky weaky

J'ai l'impression de m'être réveillée après une longue nuit de sommeil. Pas dans le sens où je pète la forme, mais plutôt dans celui où je commence à prendre conscience. A me rendre compte. Décembre, déjà. Ce qui explique pourquoi les Halles de Châtelet sont encore plus bondées qu'elles ne le sont d'habitude. Ce qui explique pourquoi il fait froid. Et pourquoi les rues sont décorées. Ainsi que les magasins. J'ai l'impression d'avoir été absente. Ou occupée à mort pour avoir zappé tous ces petits plaisirs qu'offrent les préparations des fêtes. Pourtant non. Et me revoilà encore parti sur mes délires-d'hypokhâgneuse-en-manque-de-vie-sociale.

Un jour, j'vous raconterais des bêtises.
Des vraies.