26/12/2010

Just a small town girl livin in a lonely world...

Toute cette semaine, j'ai été malade. Vraiment, du genre clouée au lit toute la journée avec pour seule compagnie, ma ventoline, ma boîte de 150 mouchoirs et... gLee.

Je cherchais une nouvelle série à regarder, vu que GG et tout ont actuellement décidé de faire une pause-Noël, et gLee j'avais déjà essayé pendant les grandes vacances, mais non. En général, pour aimer une série, il faut que j'accroche dès les premières minutes (et je deviens de plus en plus exigeante depuis que j'ai fini Lost, alias la série la plus awesomeness de la galaxie). Et ce qui m'a ennuyée chez gLee, bizarrement, ce sont tous ces stéréotypes. Ça faisait vraiment très (trop) High School Musical pour moi, mais en moins bien. Peut-être parce que la chorale était vraiment un club de merde à ses débuts, avec seulement cinq membres (+ Finn, le quaterback) qui servaient de bouc-émissaires aux plus populaires du lycée.


C'est donc en faisant beaucoup d'efforts que j'ai réussi à m'accrocher cette fois-ci. Et entre nous, même si j'ai beaucoup critiqué, maintenant, je crois que j'aime bien. L'épisode 4 de la saison 1 déjà, quand Kurt annonce à son père qu'il est gay. A partir de ce moment-là, on se rend compte que ces personnages stéréotypés n'ont pas seulement une étiquette collée sur le front annonçant quel rôle ils doivent jouer et à quelle place ils doivent se tenir, mais aussi un coeur, et des sentiments, qui vont bien au-delà des élucubrations de Rachel.


Je trouve que la saison 2 (oui, déjà, une semaine au lit je vous ai dit!) est beaucoup plus intéressante que la première, même s'il n'y a que les dix premiers épisodes disponibles pour le moment. C'est un peu comme la dernière saison de 90210: il y a de nouvelle têtes, de nouveaux décors et les personnages principaux, mais aussi récurrents, semblent avoir un rôle plus "profond" (cf Naomie et la façon dont elle se comporte après ce qui lui est arrivé...). Ainsi, même si Karofsky est une grosse brute de footballer terrifiant sans cesse Kurt (oui, c'est mon chouchou) parce qu'il est gay, AU FINAL, quand on sait pourquoi, on ne peut pas s'empêcher d'avoir pitié de lui, dans le bon sens du terme. Même Sue, la coach des pop-pop girl ET anti-glee, finit par être plus humaine.

Et ne l'oublions pas, gLee, c'est aussi, comme son nom l'indique, tous pleins de chansons, de reprises, de réinterprétations, de costumes, de danses. DES PAILLETTES QUOI! J'me suis procurée les CD, vol 1 et 2, sur Spotify, idéal pour faire le ménage, et ai retrouvé pleins de vidéos sur youtube rien que pour faire durer le plaisir. Parce que de point de vue là, il n'y a rien à dire, et d'ailleurs c'est la seule chose que je n'ai pas critiqué ;)



Umbrella/Singing in the rain with Gwyneth Paltrow ♥
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24/12/2010

Joyeux Noël !

Oui, quand je pense à Noël, je pense à ça.

Ce qui est bien quand qu'on est issu d'une famille d'immigrés, c'est que cette dernière finit toujours (dans le meilleur des cas) par adopter la culture du pays d'accueil. Et oui, par exemple, j'ai des copines marocaines (et musulmanes) qui sont encore et toujours étonnées lorsque je leur dis que, non, je ne fête pas Noël. Alors que elles, oui. Avec le sapin et tout le toutim.

Faut croire que "la magie de Noël" n'a pas de frontière. C'est pourquoi ma mère a sortie la dinde et est en ce moment en train de faire des cookies (vous savez, pour quand le Père Noël viendra par la cheminée (puisque c'est faisable maintenant que nous habitons une maison) déposer nos cadeaux sous le sapin que nous n'avons pas ;), un vendredi soir (d'habitude, ma mère fait grève ce jour-là tellement elle est crevée). Bref, du coup je sais pas si tout ça vaut le coup de bien s'habiller pour le non-évènement, surtout que là, j'ai ma crève annuelle. Si l'année dernière je demandais une voix au Père Noël, cette année je veux qu'il me redonne tous mes sens. C'pas que j'en ai marre de m'abrutir devant Glee, mais quand même :)

Bon, j'espère que vous, qui avez été sages, aurez tous les cadeaux souhaités de votre wish-list. (et moi aussi d'ailleurs, c'est un autre avantage de votre culture que l'on a adopté ;) Mangez-bien, buvez-bien et tout, et tout. Et aussi, merci pour vos commentaires du précédent billet. C'est plutôt cool de se sentir entourée, même dans la blogo! XoXo


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22/12/2010

New Direction.

Trois jours après, j'me disais que ça irait mieux, sous-estimant mes yeux de produire autant de larmes. Deux semaines après, même refrain. Et maintenant que ça fait un mois, il m'arrive de re-sombrer. Alors, je repense à ce que l'on m'a dit les premiers jours. Que j'allais encore en chier pour longtemps. Et je le reconnais, même si je pense aller bien, quelque part j'attends du fruit de ma guérison qu'il ne soit pas qu'une simple auto-persuasion, mais un sentiment réel.

Je sais que je vais bien, mais au fond j'ai peur. Car plus les jours passent, et plus j'oublie. Et oublier tous ces bons moments fait que j'oublie que durant toute cette période, j'ai pu être quelqu'un de formidable. Aujourd'hui je redeviens un peu la S. invisible que j'ai toujours été. Et pour éviter de penser à ça, je me raccroche à la prépa, espérant intégrer une école dès cette année, et partir.

Ça me fait peur rien que d'y penser, mais je pense que c'est la seule solution, et donc ma seule résolution pour 2011. Quitter cette ville que je déteste, cette maison dans laquelle je ne me sens pas du tout chez moi et cette routine avec un RER qui me rend hystérique. Mais qu'on ne s'y méprenne pas, 2010 a été ma meilleure année. Mais comme chaque année, il y a eu des hauts et des bas. Et si là les bas semblent prendre le dessus, c'est uniquement parce qu'ils me permettront de faire enfin ce qu'il me plaît, en étant moi-même, et non la fille qui fait semblant pour plaire aux autres.

Voilà, article niais et vaguement profond, mais je n'avais que ça en stock: parler de moi, de mon vrai moi. Et puis une petite introspection en cette fin d'année, c'est pile poil de saison!
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28/11/2010

Tea time !

Comme vous avez pu le lire dans ce vieux billet, le dimanche matin c'est sacré. Inutile alors de mettre le réveil à 8h pour bosser, quand on sait que ma nuit de sommeil du samedi au dimanche est l'équivalent du double de ce que je dors en semaine. C'est un peu ma récompense à moi.

Mais ce que je préfère par dessus tout, c'est le petit-déjeuner. Rien à voir avec le fait que j'adore manger, enfin presque. Disons que c'est le seul moment de la semaine où je peux prendre mon temps (remember l'epic fail du thermos HUM). Alors autant faire les choses bien. Depuis que je suis en première, j'ai (presque) abandonné le chocolat chaud pour le thé, et cette "passion" s'est davantage développée ces derniers mois. Habituée au thé à la menthe, j'ai décidé de faire exploser mes papilles gustatives en essayant d'autres variétés: Earl Gray, agrumes, tilleul/citron, fruits rouges, et mon top trois: pomme/canelle, framboise/pamplemousse et enfin BONBON *_*

Et c'est pas tout, je me suis récemment emparé d'une vieille théière, histoire d'avoir plus de thé pour que ce plaisir dure plus longtemps. Et accompagné d'un bon cake et d'un magazine, ce tea time est tout simplement parfait. La grand-mère précoce que je suis est d'ailleurs hyper méga pressée de dénicher dans une brocante une autre théière bien has-been, voire même, un set de tasses assortis motif fleurs fânées ou chats, comme Ombrage dans HP5. Eh ouais, eh ouais!
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27/11/2010

Et de deux !

Voilà, ça fait déjà deux ans que j'ai quitté Skyblog et ses kikoulol pour Blogspot, et bizarrement je ne suis pas encore satisfaite du résultat. Faut croire que même sur la toile j'ai eu du mal à me chercher, à savoir ce que je voulais exactement.


Si en terminale j'avais le sentiment de me dévoiler entièrement, j'ai fini par être de plus en plus évasive sur ma vie privée. Mais finalement, c'est pas plus mal car au fond, je reste persuadée que mes histoires fascinantes de la vie de tous les jours sont plus intéressantes qu'un article de fille qui se remet durement mais sûrement de sa récente rupture avec le copain dont je ne vous ai quasiment jamais parlé. De toute façon, je pourrais pas. Trop de personnes proches connaissent l'existence de ce blog pour que j'y puisse me livrer entièrement. Au fond, je pense que ça me gênerait qu'ils sachent ce que je ressens exactement. C'est pourquoi (faut vraiment que j'arrête ces manies de khâgneuse, on dirait que je rédige une dissert!), je vais continuer dans cette lignée, si le peu de temps que j'ai me le permet. Anyway,

JOYEUX ANNIVERSAIRE LE BLG !


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26/11/2010

Neige et BnF ne font pas bon ménage.

Fait n°1: Il pleut à chaque fois que je décide d'aller à la BnF.
Fait n°2: Le parvis de la BnF est glissant en cas d'intempérie.
Fait n°3: Une de mes plus grandes phobies: tomber.

Vous voyez où je veux en venir? Déjà que ce lieu me donne des frissons, son accès est en plus un véritable parcours du combattant: le Mk2 Bibliothèque est situé juste à côté, de quoi hésiter pendant de longues minutes entre un bon film ou une séance révisions en vue du concours blanc, le parvis glisse et comme je suis déjà tombée une fois je stresse à chaque pas de peur de rechuter, et enfin l'entrée est complètement suicidaire - un escalator sans marches, sans tapis roulant, bref, une pente. De quoi avoir peur de faire un joli roulé-boulé sous le regard de ces parisiens pédants (pléonasme?), hum.


Et quand j'ai vu qu'il avait neigé tout à l'heure, j'ai paniqué. Certes c'était tout joli, mais une fois les flocons posés au sol, ça devient vite de la gadoue, et gadoue = glissant = chute. Alors j'ai essayé de me rassurer en me disant que mes supers nouvelles chaussures avaient des supers semelles antidérapantes, et donc que je ne pouvais pas tomber. Et là, drame, je glisse, et ma peur s'accentue. Parce qu'en plus d'avoir peur de se retrouver seule en plein océan ou tout simplement au milieu de rien, l'une de mes autres plus grandes phobies c'est tout simplement de tomber. Tomber en courant. Tomber en descendant les escaliers. Tomber en marchant. Tomber sous la pluie. Tomber. Tomber. Tomber. Faut croire que je ne suis pas douée avec mes pieds. Et depuis, j'ai encore plus peur de retourner à la bibliothèque. Help?
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13/11/2010

Introspection.

Bonsoir, nous sommes samedi et je mets mes devoirs de côté pour venir un peu ici. C'est vrai que ça fait longtemps, d'ailleurs je me demande même si j'ai toujours des lecteurs. J'ai conscience de délaisser mon blog, et ça ne m'enchante pas vraiment. Le fait est que je ne veux plus vous parler de la prépa, ou plutôt QUE de la prépa, de mes angoisses, des éventuelles concours que je vais devoir passer pour quitter ENFIN le lycée, me lancer dans une vraie vie d'étudiante, vous savez celle où l'on a régulièrement des soirées étudiantes le week-end et pas de dissertation de géographie à rendre?

Mais d'un autre côté, c'est ce qui constitue les trois quarts de mon temps. A côté de ça, je dors et je regarde mes séries, seules activités qui m'enchantent. Mais je veux plus. Au bout d'un an et deux mois, je n'arrive toujours pas à m'organiser dans mon boulot, ça craint, parce qu'il y a tellement de choses à faire à côté. Tellement de choses que j'ai manqué: des soirées, des séances ciné, des séances shopping, SALM avec DJette Pandora. Et mon copain que j'ai l'impression de ne plus voir et qui me manque. Juste, vivement le jour où tout ça se terminera, et je n'entends pas par là les vacances car au final, mes journées de cours sont plus light que les journées que j'ai pu passer pendant la Toussaint à faire mes devoirs toute la journée.

Bon sinon, au lieu de me lamenter sur mon sort (finalement je n'y aurais pas échappé), je pourrais vous parler de mon super coffret DVD Ce que pensent les hommes/Valentine's Day ♥ offert par le frère, qui me fait grave de l'oeil, mais je vais être raisonnable, je retourne à ma géo! La bise, et j'espère que vous, lecteurs fantômes (ou inexistants ahah), allez bien :)
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31/10/2010

You will meet a tall dark stranger...

Bonsoir, ceci n'est pas un article qui expliquerait pourquoi je ne poste pas depuis deux semaines ou piiiire, un article qui vous informerait de la fin de ma vie 2.0 (en passant, son avenir est toujours incertain), mais juste un article qui parle de ciné (ce qui est ma foi, bien trop rare ici).

Bref, je me suis rappelée, il n'y a pas très longtemps, de l'existence du cinéma municipal. Vous savez, le petit cinéma du centre ville, qui propose des prix deux fois moins exorbitants que ceux qui leur font de plus en plus d'ombre en proposant une palette nombreuse et diversifiée aussi bien en matière de films que de pop-corn (salé, sucré, rose, vert, je rigole bien sûr). Et bien, il y en a un, de cinéma, près de chez moi (enfin "près", tout est relatif), très cosy, et qui nous fait donc oublier qu'il se trouve quand même dans un coin peu fréquentable. Mais du moment qu'il m'a donnée mes deux heures d'évasion à faible coût, moi je suis preneuse.

C'est ainsi que je suis allée voir le dernier Woody Allen. De lui, je n'avais vu que Whatever Works, et puis lu bien sûr son recueil de nouvelles, L'erreur est humaine, avant qu'il ne finisse noyé lors d'une quelconque mésaventure en Vendée il y a maintenant quelques années de cela (genre, j'suis méga vieille). C'est donc un peu en terrain inconnu que je me suis lancé dans l'aventure (youhou), et je dois vous avouer que je suis quand même restée sur ma faim. Au final, seule le personnage avec qui l'intrigue commence, Helena, connaît une fin heureuse, alors que l'on ne sait rien des personnages "satellites", à savoir la fille qui voulait ouvrir sa propre galerie d'art, son ex et sa carrière plutôt douteuse d'écrivain, Dia qui a quitté son fiancé pour ce dernier, ou encore l'ex d'Helena qui s'est remarié avec une fille bien trop jeune pour lui (d'ailleurs thème récurrent, pour ceux qui ont vu Whatever Works)... A croire que leurs rêves ont tous été brisés par... les aléas de la vie, monsieur Pas-de-chance, ou encore une passion trop grandissante qui les a aveuglément menés vers un échec (im)prévisible. Plutôt triste non?
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17/10/2010

Hey hey hey it's my birthday !

Bon eh bien voilà, ce jour tant redouté est enfin arrivé: aujourd'hui j'ai 19 ans! Si l'année dernière j'étais d'humeur très festive (majorité oblige), cette année c'était plutôt le contraire. Une grande envie de ne rien faire, et comme aujourd'hui c'est dimanche, ça m'a bien aidée. Alors, entre sms, appels téléphoniques et message FB, j'ai eu le temps de rattraper TOUT mon retard GG-esque, et 90210-esque. Juste génial. Sachant qu'en plus, ce week-end, j'ai eu le temps de passer plus de temps que prévu avec le copain, la Coccinelle et V., ça rattrape toutes ces embrouilles familiales..! Bref, plus qu'une semaine avant les vacs, je suis folle de joie! ♥


(best video ever ♥)
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16/10/2010

Plainte mensuelle.

Oh mais que m'arrive-t-il? C'est moi ou ça fait longtemps que je ne suis pas plainte? Rattrapons vite ce retard, sachant que cette semaine, j'ai été servie, gâtée même. Et merci qui? Les grèves de transports.

Bon, déjà, un avant-goût ce qui aurait pu être pire les jours d'après, lundi. Deux heures et demie pour rentrer chez moi, j'ai jamais vu ça. Et tout ça parce que j'ai gagné le gros lot: colis suspect + accident de voyageur + problème technique. JACKPOT. Et dans ces moments-là, je deviens irritable. Je ne supporte plus rien, je maudis tout le monde, et je me retiens de chialer sur le quai. Et quand je pense à ce qu'aurait été ma vie si je n'avais pas déménagé aussi loin du lycée, aux devoirs qui m'attendent en rentrant, et à cette fatigue mélangée au stress, c'est pire que tout. C'est limite si j'ai pas envie de faire un gros caca nerveux, comme les gamins de quatre ans qui se roulent par terre en tapant du poing. Un peu fou, mais compréhensible, non?



Et les jours d'après n'étaient pas mieux. J'ai dû prendre le train très tôt, soit avec mon frère, soit avec ma mère qui est du genre à parler tout le temps, pour rien en plus, donc imaginez le supplice supplémentaire, et attendre longtemps, très longtemps, le soir, pour rentrer. Aujourd'hui par exemple j'ai attendu une heure. Normal quoi. Et quand j'ai appelé mon père, je n'ai eu le droit qu'à un "Et? tu veux que je fasse quoi?". Merci, la compassion ça existe, merde. Donc voilà, tout ça pour dire que cette semaine, j'ai dû passer plus de temps à Gare de Lyon que dans mon lit. YOU-HOU.
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12/10/2010

Shoes-aholic

Même si la prépa a tendance à me rendre apathique, elle n'a pas réussi à enlever mon obsession de l'esprit. Les chaussures. C'est bête, hein? Mais oui, en ce moment, et depuis quelques jours, je ne regarde que ça autour de moi. Je pense chaussures. Tout le temps. Et j'envie toutes ces filles qui en ont de très belles. Mais comment font-elles pour suivre les tendances modesques, comme ça? Pour marcher avec des talons d'un kilomètre de haut? Et bien en plus? Est-ce qu'elles couchent avec leur banquier pour pouvoir se permettre de mettre une paire différente tous les jours?

*bave*

Et cette obsession va bien sûr de paire avec le fait que je suis en manque de pompes. Avec le mauvais temps qui arrive, et surtout la pluie, j'ai laissé mes ballerines et mes bensimon de côté. Pareil pour les converses, de toute façon ça fait longtemps que je ne les mets plus. Reste plus que les bottines, dont les talons sont tellement abimés qu'elles m'ont jouées un sale tour la dernière fois que je suis allée à la BNF. Genre il a plu, le sol était glissant et bim, une S. à terre. Donc, il me faut des nouvelles chaussures. Mais quel modèle choisir, sachant que je ne suis à l'aise que si je suis près du sol? Hein, hein, hein? Dixit la fille qui s'est quand même achetée une paire de Richelieu... Raaaaah.
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10/10/2010

Take a walk on the folk side

C'est bon de glander un dimanche. Depuis mon DS de Lettres d'hier matin-début d'aprèm, je n'ai RIEN foutu. Genre, au lieu d'aller bavarder avec ma grand-mère fraîchement revenue de ses longues vacances en Inde (vivement la retraite moi je dis!), j'me suis bêtement endormie sur son lit, après m'être ENFIN fait les ongles. Couleur flashy pour cette semaine, peut-être à l'image de mon humeur.

C'est dingue d'être heureuse juste pour ça. Ne rien faire. Profiter de sa couette un dimanche matin. Prendre le temps de déjeuner devant le dernier Be. C'est comme si je revivais en fait. Reste plus qu'à appeler la BFF et mater un épisode de GG (je n'ai regardé que je premier épisode, vous vous rendez compte? MOI? En plus tout le monde en parle sur FB, ça me rend malade!), et j'aurais passé un super week-end... A remettre la semaine prochaine aussi, jour de mes dix-neuf ans. D'ailleurs je ne sais même pas ce que je vais faire. Rien peut-être. Sûrement même.

Et vous, votre WE(I)? :D
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02/10/2010

Wake me up when September ends...

Un mois de prépa et voilà déjà que ma vie 2.0 se voit abandonnée. Alors, je me dis qu'il faudrait peut-être que j'arrête, parce que trois articles sans images par mois c'est moche, ça donne pas envie de lire, et c'est surtout inutile. De feindre un semblant d'activité bloggesque juste histoire de dire que j'ai un blog. NUL.


Mais ça doit être dans l'esprit prépa, le fait de toujours vouloir se dépasser, de tester toutes ses limites, d'accomplir un objectif, et donc, au final, de ne jamais baisser les bras. C'est pour ça que je n'arrêterai pas. Je me rappelle de la journée que j'avais prise en juillet pour refaire tout l'habillage de mon blog, et de ces articles que j'avais écrit quotidiennement. C'est mon blog. Je ne peux pas l'abandonner. Et puis pour la publication des articles, cela va dépendre de mon problème d'organisation, que j'essaye de remédier depuis plus d'un an, la flemme et l'envie de maintenir un minimum de vie passant souvent avant les devoirs et les révisions...

Bref, et vous ça va? :)
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19/09/2010

No life.

ça y est la routine de la prépa a recommencé et je dors plus que je ne travaille, mais c'est pas grave! Enfin si, parce que du coup, je suis un petit peu à la bourre (genre là, à l'heure où je vous parle, je suis (déjà) méga dans la merde), et j'ai plus le temps de faire des choses intéressantes (notamment faire mes ongles).

Parce j'ai beau être une campagnarde banlieusarde parisienne, je passe bien plus de temps dans la capitale que dans mon trou perdu. Et il s'en passe des évènements, qui finissent toujours pas me passer sous le nez. Certains disent "je peux pas j'ai poney", bah moi, c'est plutôt "je peux pas j'ai sommeil" (et du boulot, et pas d'argent non plus).

C'est ainsi que la semaine dernière j'ai loupé la Fête de l'Huma, sachant que la Coccinelle avait des places gratos, et ce week-end, la séance de dédicaces des Plasticines rue Rivoli (bon ça c'est juste pour faire genre hein) et surtout la soirée de lancement du magasine encore un peu inconnu au bataillon, j'ai nommé Pepper Steak, dont je parlerai très prochainement puisque j'ai eu un exemplaire gratos, le chargé de com' du magazine étant... mon copain! Donc voilà, je suis un peu dég d'avoir raté cette soirée, surtout que des "bières et lait fraise à gogo" ça ne se refuse pas...

Mais ce que j'appréhende le plus, c'est le Festiblog, prévu samedi prochain. D'ailleurs, si j'y vais, je n'ai rien à me faire dédicacer, à part peut-être mon agenda 2009/2010 signé Pénélope Bagieu... Et puis avec la Coccinelle (toujours!), on avait pensé la zapper cette année pour découvrir d'autres illustrateurs, comme Tokyobanhbao. Affaire à suivre...
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15/09/2010

Bien fait pour moi?

Parfois, le matin, je réfléchis beaucoup (tout est relatif!). Jeudi par exemple, en marchant en direction de mon arrêt de bus, j'ai eu le sentiment d'avoir "traversé" une toile d'araignée. Disons que j'avais l'impression d'avoir une filet de toile d'araignée juste au niveau de mon visage, mais comme à six heures du matin, il fait encore nuit, j'étais incapable de savoir s'il s'agissait bien de cela, ou alors d'un simple cheveu. Mais je me suis quand même posée pour secouer mon blazer, mon petit foulard gris à motif coeurs noirs (trop beau), et ma queue de cheval. Au cas où. Parce que je n'étais pas sûre que l'on me prévienne au cas où j'avais une big araignée sur moi. Même moi je ne le ferais pas.

Et c'est à partir de là qu'est venue ma réflexion matinale (ou plutôt nocturne): je fais partie de ces gens qui ne se bougent pas trop pour les autres. Dans le sens où si une fille porte un jean sur lequel se trouve encore l'étiquette, sachant que celle-ci est hyper visible, et bien je la regarderais, sans rien lui dire. De même pour ce mec qui s'est assis sur une grosse bête un jour, j'aurais pu lui dire, mais non. Et puis de toute façon c'était trop tard... Et puis j'aime pas parler aux gens, ceux que je ne connais pas, ça fait la fille qui se mêle de tout. Mais sinon, je cède ma place aux mémés dans le bus et j'aide les madames à porter leur poussette.

Bref, c'est en pensant à ça que mon bus m'est alors passé sous le nez, malgré mes signes. Et aucune personne du bus ne s'est manifestée. Elles m'ont juste regardée. Arroseur arrosé, je sais pas, mais ça a bien plombé ma matinée. Surtout qu'après j'ai pris le RER avec mon prof d'allemand qui a bien insisté pour s'assoir à côté de moi, mais ça, c'est une autre histoire...
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13/09/2010

OMD


En attendant que les nouveaux épisodes traversent l'Atlantique...
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11/09/2010

Sulking in the rain.

Vivement le 13 septembre !!!!

Il faut ab-so-lu-ment que je m'achète un parapluie. Parce que sortir très tôt le matin de chez soi, c'est pas évident, mais si en plus il pleut j'vous raconte pas mes débats intérieurs avec Motivation. Quelle peste celle-là! Pourtant, des parapluies j'en ai. Ou plutôt, j'en avais. En fait, c'est comme les boutons de mes vestes, il y a toujours un truc qui cloche. Le dernier en date était un cadeau pour mes dix-huit ans, et je crois qu'il s'est cassé dès sa première utilisation. Je suis sûre que c'est parce que je l'ai ouvert dans ma chambre, au lieu de l'utiliser dehors comme il le convient. Mais parfois, l'amour d'un parapluie peut devenir tellement fort (surtout s'il est gris ET recouvert de petits arc-en-ciel trop choupichou) que l'on peut tout réparer avec un peu de glu. Et des fois, cet amour se perd chez un prof de philo...

"Mais que faisait ton parapluie chez ton prof, bitch?". J'vous explique le contexte: fin de première année de prépa, fête, chez le prof de philo. Enfin, quand je dis "fête", c'est plus "soirée posée". C'est chez un prof, hein! Bref, quand je suis arrivée, il pleuvait, le prof a posé mon parapluie dans le coin d'une pièce pour qu'il sèche. Sauf qu'au moment de partir, on était tous réuni dans le salon, assis autour d'un pianiste qui jouait du Chopin je crois. C'est chez un prof, hein! (bis). Et je devais partir pour aller à une autre fête. J'avais le choix entre partir discrètement pour ne pas déranger le "concert", ou pousser tout le monde pour récupérer le parapluie. Et après une bonne dizaine de minutes de réflexion pendant lesquelles j'ai torturé mon cerveau, je suis partie sans. Bien sûr, je peux toujours aller voir mon prof et le lui demander, à moins qu'il ne l'ait perdu, ce qui ne m'étonnerais pas venant de sa part. Enfin bon, affaire à suivre.

Et en attendant, je m'amuse à courir sous la pluie en mettant mon écharpe sur la tête pour ne pas boucler mes cheveux lisses (oui, la période cheveux ondulés n'a duré que deux jours), maudissant ces super parapluies Zara vendus à un prix dérisoire (je trouve). Sexy, hein? Enfin, pas aujourd'hui, parce que bien sûr, il a plu toute la semaine, mais il fait super beau ce week-end...
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05/09/2010

Les fringues me tueront.

Vivement le 13 septembre!

A chaque rentrée, c'est la même chose. C'est comme si on m'avait lobotomisée le cerveau. Comme si je ne voyais plus les choses de la même façon, en particulier les fringues. MES fringues. Je sais pas pourquoi, mais arrivé septembre, je les trouve toutes hideuses. Et j'ai des réflexions du genre: "Nan mais je peux plus porter cette horreur", en montrant du doigt mon tee qui fut un temps trèèèèèès éloigné mon tee préféré. Du coup, tous les matins, c'est la panique.

Et mes camarades khâgneuses hyper bonnasses y sont forcément pour quelque chose. A mon avis, on ne doit pas faire les magasins dans les mêmes boutiques. Ou alors, j'habite dans un monde parallèle, où les collections ne sont pas les mêmes. Je savais que c'était une grosse erreur d'habiter chez les pecnos. Mon nouveau centre commercial a l'air hyper classe vu de face, mais au fond, ce n'est qu'un amas de vieilleries dépassées où combishorts, liberty et compensés ne seront présents que lorsque toutes les fashionistas de la Terre entière auront décrété ces trésors hype aujourd'hui, seront complètement ringards demain. Fuck.

Heureusement que je suis née en octobre. Donc en attendant un joli virement sur mon compte, je compte bien surveiller les nouvelles collections, et peut-être qu'avec un peu de chance, je shopperais de quoi arrêter de me comparer aux autres!
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03/09/2010

Pas si thé-méraire que ça...

J'aurais tenu deux jours, pas plus. De toute façon, soyons réalistes, je n'étais pas motivée dès le départ. Alors, à quoi bon se voiler la face? A quoi bon se fier aux apparences? Ou continuer parce que les autres trouvent ça cool. Le fait est que j'ai essayé, vraiment, je vous jure. Mais non. Je peux pas. Ces deux jours ont été horribles. Façonner une tronche de winneuse, puis s'en prendre plein la gueule. Acheter des beaux livres hyper chers, qui finalement pourrissent au fond du sac. Et bien stop. Je crois d'ailleurs que c'est une expérience que je ne recommencerai plus jamais de ma vie. Même que je la déconseillerai aux autres, pour leur bien.

...

Je vous parle bien évidement de mon expérience du thermos! Et dire que je m'étais levée exprès en avance pour ça: faire chauffer de l'eau, ouvrir mon sachet de Earl Grey et préparer mon thé directement dans le thermos. Avec mon blazer et mes cheveux ondulés, j'avais la classe to-tale. Alors bien sûr, j'ai pris la confiance direct. Et une gorgée plus tard, j'avais la langue en feu. Mes papilles gustatives sont complètement brûlées. Je ne ressens plus le goût des aliments. Et merde, c'était méga bon à la cantine en plus! Bref, depuis hier matin je souffre un peu.

*soupiiiiiiir*

Et bien sûr, les aventures de Mademoiselle Padchance ne s'arrêtent pas là. Hier, les gens me regardaient avec mon thermos à gare de Lyon. Enfin, quand je dis "les gens", c'est surtout un vieux mec qui n'a pas fait que regarder mon thermos. Mais bref, j'étais hyper gênée. J'ai un problème avec les gens, j'aime pas quand ils me regardent, j'ai toujours l'impression d'avoir un truc bizarre sur la face (et à côté de ça, j'aime pas non plus quand les gens ne me regardent pas, j'ai l'impression d'être invisible... qu'est-ce que c'est compliqué une fille). Du coup, ce matin j'ai pas osé boire mon thé. Il est resté toute la matinée au chaud dans son thermos... Avant de se vider à moitié dans mon sac l'aprèm.

Quel saligaud! Pourquoi tant de précipitation? ça pouvait pas attendre mon retour à la maison? Et je vous jure que le responsable est le thermos, et non moi. C'est bête mais c'est comme ça, il restera en déco sur mon bureau (c'est un thermos Disney, avec Grincheux dessus). Et merci au super-copain d'avoir tout essuyé, quelle greluche je peux être parfois...
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01/09/2010

Septembre c'est nul.

J'ai raté ma french manucure, tout ça parce que je n'arrive pas à me détendre. C'est dingue mais j'ai une espèce de boule au ventre, à l'idée de penser à la journée de demain. Non je ne regrette pas mon choix, et je sens que je vais kiffer la khâgne (phrase à relire dans les moments de forte déprime). Juste qu'il va falloir reprendre les bonnes habitudes. Enfin ça, je vous en avais déjà parlé.

Le truc, c'est que demain c'est le premier jour. Donc il faut être parfait. De la tête aux pieds. Vous savez, sortir le joli sac que l'on a acheté en soldes, mettre ses plus beaux vêtements, coiffer sa tignasse abîmée par le sel de mer. Bref, montrer que l'on ne s'est pas transformé en gros tas pendant les vacances.

Donc demain il va falloir que je me lève encore plus tôt. Tout ça pour maîtriser ma nouvelle mèche coupée toute seule qui me tombe dans l'oeil gauche, et peut-être aussi pour petit-déjeuner. Histoire de ne pas passer brutalement de ces déjeuners copieux à base de chocolat chaud et toute sorte de tartines, à une briquette de jus emportée à la volée avant de courir jusqu'à l'arrêt de bus. De toute façon, je pense utiliser mon thermos cette année (ça fait pas ringard hein? De boire son thé dans le train?).

Et autre chose, ma pote avec qui je prenais le train l'année dernière nous quitte pour la fac. Je vais donc me retrouver toute seule à 7h15 à Gare De Lyon. Raaah, décidément cette rentrée va être vraiment bizarre...
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31/08/2010

Sans queue ni tête.

Dernier article du mois d'août, qui clôture ainsi ces jolies vacances d'été. Mi-juin, je les appréhendais un peu. Toutes mes tentatives pour trouver un stage ou un job d'été n'ont abouti à rien, si ce n'est qu'un entretient chez Domac, peu concluant. Et puis mes parents devaient bosser, mon frère faire des gardes à l'hôpital, et surtout, j'avais fini de regarder Lost. J'étais donc condamnée à ne rien faire chez moi, si ce n'est garder ma petite soeur. Youhou.

Et puis finalement, j'ai trouvé de quoi pimenter ces vacances. La preuve, j'ai jamais autant écrit en deux mois depuis que j'ai créé ce blog. Et ça va être dur de garder le rythme avec la reprise des cours. Parce que je ne sais pas vous, mais je mets quand même du temps à écrire un article. Quand j'ai une idée en tête, ça peut aller, le gros travail étant de trouver des images (parce que bon, je me foule pas trop pour la mise en page). Et là, ça dure quand même une bonne heure.

Mais quand j'ai envie d'écrire, et que rien ne sort, c'est plus compliqué. Cet article là par exemple, si je le voulais, je pourrais le supprimer, parce qu'il ne sert à rien, et surtout parce qu'il n'y a aucun fil conducteur. Je parlais de vacances et me voilà en train de vous raconter mes backstages blogguesques. Bref, et je pourrais peut-être m'en sortir dignement en vous demandant comment est-ce que vous pondez vos articles. Ou pas. En attendant, je retourne à mes dernières lectures :)
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29/08/2010

Et dimanche c'est farniente. #2












Ah Disney! Y a une époque, j'y allais souvent, bon rapport avec l'oncle qui y travaille oblige. Donc j'ai pu en profiter, aussi bien pour les attractions du studio qui remuent les tripes et qui change de l'habituel Space Mountain, que pour l'univers que dégage ce parc. Je crois que je serais capable d'y aller rien que pour les parades des princesses Disney. Ouais juste pour elles, parce que faut l'dire, on s'en fiche un peu de Tic et Tac. Et depuis qu'elle m'a écrasée le pied quand j'avais cinq ans, j'entretiens de mauvais rapport avec Minnie, donc elle aussi on s'en fiche. Enfin bref, ces photos ont été prises l'année dernière, et je dois vous avouer que le spectacle HSM me manque un peu héhé.

J'vous souhaite un bon dimanche, et à moi aussi car pour une fois je vais pas bader ce soir. Et oui, retrouvailles avec le copain, ENFIN! Un mois sans se voir, c'était bien long ♥
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28/08/2010

Where is my mind?

Aujourd'hui c'était le Grazia Street Fashion show. Lisant à mes heures perdues Grazia dans le RER, et suivant surtout le dit magasine sur Twitter, je m'étais un peu intéressée à cette histoire de fashion show géant et libre d'accès à tous, dans lequel défileront des filles hyper stylées, soigneusement choisies par la rédaction. Bref, c'était mi-juillet tout ça, et comme ça se passait à Paris, je m'étais dit à l'époque que j'irais faire un tour, histoire de.

Et ben vous savez quoi? J'ai complètement zappé. Comme quoi, ils sont pas très forts les gens de Grazia en communication. Ils auraient pu me prévenir plus tôt sur Twitter! Surtout que j'aurais bien aimé y aller, ça m'aurait éviter de lire sans succès un bouquin hyper méga chiant dont l'intrigue est digne de celle de Luna et ses visions rocambolesques dans PBLV. Enfin bref, tout ça pour dire que je n'ai pas de mémoire.

Et pourtant, fut une époque où j'arrivais à retenir une dizaine de pages de cours, comme ça, par coeur. Je pouvais la ressortir à n'importe quel moment, que ce soit en me brossant les dents, à la récré, ou avant de dormir. Aussi bien le contenu que les titres des parties, des sous-parties, des sous-sous-parties. Et quand j'y pense, j'ai aussi une super mémoire visuelle. Je peux apprendre une liste de mots de vocabulaire, ne pas connaître leur sens dans telle ou telle langue, mais vous dire où est-ce qu'ils se situent sur la feuille.

Mais à côté, je suis incapable de vous dire ce que j'ai mangé la veille, de me rappeler des trucs méga important qu'il faut que je fasse demain, ou de faire ce que l'on m'a demandée de faire il y a cinq minutes. En gros, des trucs utiles quoi. C'est pourquoi je liste tout, d'où l'importance des post-it roses flashy. CQFD.
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27/08/2010

Taare Zameen Par

Bon, qu'on soit clair, les films indiens c'est pas trop ma tasse de thé. Même ceux issus des blockbuster bollywoodiens. On ne va pas dire que je suis insensible au charme de ces beaux acteurs au torse musclé, ni aux couleurs flamboyantes de leurs vêtements ou encore aux chansons toutes aussi entraînantes, mais c'est juste qu'à force, toutes ces histoires d'amour impossibles finalement possibles après trois heures d'acharnement, c'est répétitif, donc chiant.


Bon, j'avoue, j'adore cette vidéo.

Mais heureusement, il y a des films qui sortent du lot. Ou plutôt qui diffèrent du film indien type qu'on connaît tous, et qui surtout diffère de l'image que l'on a de l'Inde. Taare Zammen Par en fait partie.

C'est l'histoire d'un petit garçon Ishaan qui passe ses journées à rêver, ce qui a des répercussions négatives sur ses études et son comportement au grand désespoir de ses parents. A huit ans, il ne sait ni lire, ni écrire, du moins pas correctement. C'est pourquoi son père l'envoie en pension, ce qu'Ishaan perçoit comme une punition. Seul et abandonné, il se retrouve dans un état apathique. Il ne trouvera de l'aide qu'en la personne de son professeur d'art plastique qui finit par comprendre que l'enfant n'est ni bête ni fainéant, mais juste atteint de dyslexie.

Le film montre alors qu'il ne faut pas toujours pousser l'enfant vers la perfection, mais tout simplement croire à son potentiel. Alors, je me dis que j'ai de la chance. Mes parents auraient pu être comme ceux d'Ishaan et me pousser au-delà de mes capacités au point de me stresser continuellement (et quand j'y repense, c'est le cas, mais surtout par ma faute, j'y reviendrais sûrement), ou alors, ça aurait pu être complètement l'inverse, à l'image de toutes ces familles indiennes attardées que je connais, qui font le stricte minimum pour que la fille soit mariée à vingt piges... Bref.
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26/08/2010

Take me out.

Vous savez quoi? Dans une semaine pile poil, je reprends les cours. Waow rien que de l'écrire, ça fait hyper bizarre. Un mélange de peur et d'excitation. De peur, à cause du train de vie d'étudiant que je vais devoir reprendre, à savoir métro boulot dodo. Ou plutôt RER, boulot et... stress. Et d'excitation, parce qu'au fond j'aime ça, tester mes limites (trop ouf la fille).

Mais bizarrement, mon enthousiasme n'est pas si flagrant. Il y a un temps où j'adorais cette période de l'année et tout ce qui allait avec: l'achat des fournitures. Faut le savoir, je suis accro à tout ce qui est papeterie. Même qu'il y en a une juste à côté de mon lycée, et que parfois, entre midi et deux, cet endroit était devenu mon refuge en hypo. Des stylos, des carnets à motifs coeur, des stickers, rien de tel pour redonner le sourire après un trois en anglais. C'est pourquoi je dispose à mon compte moults carnets, dans lesquels j'écris proprement et bien sur les trois premières pages, avant de le laisser à l'abandon pour du racontage de life dépressif sur le blog, et surtout tout pleins de stylos plume. Mon préféré, celui avec tout pleins de coeur de toutes les couleurs, cadeau de ma boss, lors de mon stage dans une... librairie papeterie!

Mais cette année, je ne me suis pas foulée. En plus de faire mes courses en jogging (shame on me, promis je recommencerai plus), c'était manque d'envie pour ma poire. Coup de déprime ce jour-là, ou alors la vie chiante d'adulte qui commence à déteindre sur moi et tous mes plaisirs simples de petite fille? Car cette année, pas de stylos plume (en même temps, j'en ai déjà six à mon compte et c'est largement suffisant) ou de post-it en forme de flèche ou de coeur de toutes les couleurs... Bon, j'ai quand même pris des feuilles de couleurs pour faire joli, des cahiers roses et un super agenda, pour rattraper le tout. Reste plus qu'à ranger tout ça, dans ma super trousse Kid Paddle, et à attendre patiemment la rentrée. Pa-tiem-ment.
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25/08/2010

Pose caca.

C'est dingue, car que ce soit dans les rues de Lisbonne, Tokyo, Rome, Paris, New-York, ou Moscou, les fashionistas portent les mêmes fringues - en les accordant à leur style- et surtout, posent de la même façon.





@Lookbook.nu

Comme quoi, la mode, c'est bien plus qu'une histoire de Mulberry.
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24/08/2010

Self-control

Alors que je jouais tranquillement au frisbee avec ma petite soeur à la plage, deux filles un tout petit peu plus jeunes que moi osent me déranger (genre). Elles voulaient que je les prenne en photo. Bon, vu comme ça, ça n'avait pas l'air super chiant. Un peu comme lorsqu'une sauterelle s'incruste dans votre chambre. C'est comme ça, c'est arrivé, et on ne peut plus rien y faire.

Mais ces filles ont vite été exaspérantes. Déjà, comme ma soeur n'arrêtait pas de balancer le frisbee à l'eau, mes doigts étaient pleins de sable. C'est alors que l'une des filles, la plus conne sûrement, me dit d'essuyer mes mains sur son bras, sous prétexte qu'il était sec. Euh allô, je ne sais pas d'où tu viens, mais j'ai pas l'habitude de euh... m'essuyer sur les gens. Alors, comme je suis trop bonne, j'ai dû sacrifier mon super débardeur. Les mains propres, je prends possession de leur appareil photo, en pensant naïvement qu'un bout d'une seule et unique prise, elles me lâcheront la grappe. Mais non! Vous avez déjà vu une sauterelle se poser tranquillement sur une de vos étagères, et faire la sieste jusqu'au lendemain matin? Bah non, elle se pose partout, en faisant un bruit digne d'un concerto de criquets.

Parce que ces filles, elles n'arrêtaient pas de bouger dans tous les sens. Je vous jure, elles ont posé sept fois la pose en moins de dix secondes. Et comme photographe pour dindes c'est pas mon truc, j'attendais qu'elles arrêtent de bouger. "Ah non, mais te rapproche pas trop, j'ai une vieille tête". Bouffonne t'es magnifique comme tout. "Viens on tape la pose". "Ah mais nan mais les gens vont se moquer de nous". "Mais on s'en fiche, ils savent très bien qu'on fait ça pour rigoler". "Attends, viens on va chercher le beau gosse", alias un petit surfeur blondinet qui ne se sentait plus d'avoir deux filles sur son dos. Raaah j'avais envie de balancer leur appareil dans l'eau. Tout comme j'avais envie de massacrer cette sauterelle.

Mais bon, vous le savez, je suis du genre à me laisser faire. Alors, j'ai pris deux simples clichés, ai rendu leur appareil, et suis partie vite. Tout comme j'ai passé la nuit dernière sous ma couette, crevant de chaud, tandis que la sauterelle dansait la samba dans ma chambre. VDM.
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23/08/2010

"EA Sports, zeundagaym"


Ahahah! Lorsque j'ai vu cette vidéo pour la première fois, je me suis senti naturellement visée! Parce que si j'aime bien les jeux vidéos, il va de soi que je les adore encore plus lorsque je parviens à gagner - et ce, facilement. Je me rappelle, quand j'étais petite, je détestais perdre à ce jeu sur SEGA dont le nom m'échappe, mais dans lequel il fallait se battre. Et comme je jouais contre mon frère, ce saligaud me cachait toutes les manœuvres pour briser le cou de l'adversaire, et ce, par un simple triple salto arrière qui se termine par l'un des plus dignes coup de pied du monde.

C'est pourquoi j'ai vite laissé ces jeux de combat, pour des trucs plus ludiques. Je passais alors des heures sur la gameboy color, à jouer à Tetris, ou sur l'ordinateur avec mon nouvel ami Adibou. Il était cool ce bonhomme marron aux oreilles pointues, et même si je l'ai connu un peu tard, je ne pouvais plus me passer de ses comptines, tandis que mon frère se butait à GTA, en abîmant toutes ses voitures, comme si... je sais pas moi, elles tombaient du ciel (vraiment n'importe quoi ces garçons). Surtout que je ne comprenais pas l'intérêt de ce jeu, je préférais m'amuser à apprendre à me garer comme une pro.

Et puis, la playstation est arrivée, et j'ai connu les Sims. Mais là, pareil, il ne fallait pas trop m'en demander. Construire des maisons et créer des personnages c'est cool. Mais quand il s'agit de s'occuper d'eux en les réveillant de force pour aller bosser, non merci. Surtout que les miens n'en faisaient qu'à leur tête, et finissaient souvent morts dans leur cuisine après avoir mangé une assiette périmée... Depuis, j'ai abandonné (même si je possède quand même trois sortes de Sims), et je me suis dernièrement laissé reséduire par Roland Garros 2005, en tant qu'ancienne pratiquante de ce sport. Et vous savez quoi? J'ai battu mon précédent record qui doit remonter d'il y a deux ans, dans la section "défi" - en mode facile, inutile de le préciser ;)

Et comme j'aime tout ce qui est simple et trognon, il m'arrive de piquer la Nintendo DS de ma petite soeur et de jouer au Petshop, mais ça c'est une autre histoire, car j'adore vraiment la tronche de ces animaux...
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22/08/2010

Et dimanche c'est farniente.











Je reviens des côtes normandes et d'un ménage express au cours duquel j'ai enfin trié mes cours de prépa. Reste plus qu'à les ranger dans des gros classeurs, à acheter demain, avec le reste des fournitures... C'est pourquoi, pour éviter de déprimer à l'idée que les vacances sont presque terminées, je poste des photos prises jeudi, dans une fête foraine. En général, on essaye d'y aller une fois par an avec mes parents, et j'en profite pour me faire le plein de sensations fortes. J'ai d'ailleurs essayé ce qu'ils appellent tous "l'ascenseur", que j'ai très vite regretté arrivée en haut de la tour, car "l'ascenseur" peut descendre à toute vitesse à n'importe quel moment... En fait, je crois que j'ai été tellement surprise que je n'ai pas crié pendant la descente, mais après. Il paraît que le ridicule ne tue pas, la preuve, je suis toujours en vie :)
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