05/09/2010

Les fringues me tueront.

Vivement le 13 septembre!

A chaque rentrée, c'est la même chose. C'est comme si on m'avait lobotomisée le cerveau. Comme si je ne voyais plus les choses de la même façon, en particulier les fringues. MES fringues. Je sais pas pourquoi, mais arrivé septembre, je les trouve toutes hideuses. Et j'ai des réflexions du genre: "Nan mais je peux plus porter cette horreur", en montrant du doigt mon tee qui fut un temps trèèèèèès éloigné mon tee préféré. Du coup, tous les matins, c'est la panique.

Et mes camarades khâgneuses hyper bonnasses y sont forcément pour quelque chose. A mon avis, on ne doit pas faire les magasins dans les mêmes boutiques. Ou alors, j'habite dans un monde parallèle, où les collections ne sont pas les mêmes. Je savais que c'était une grosse erreur d'habiter chez les pecnos. Mon nouveau centre commercial a l'air hyper classe vu de face, mais au fond, ce n'est qu'un amas de vieilleries dépassées où combishorts, liberty et compensés ne seront présents que lorsque toutes les fashionistas de la Terre entière auront décrété ces trésors hype aujourd'hui, seront complètement ringards demain. Fuck.

Heureusement que je suis née en octobre. Donc en attendant un joli virement sur mon compte, je compte bien surveiller les nouvelles collections, et peut-être qu'avec un peu de chance, je shopperais de quoi arrêter de me comparer aux autres!
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3 commentaires:

Alison a dit…

Comme je te comprends :)

JULIE a dit…

C'est la même chose pour moi ! Rien ne me plait dans mon armoire. Et puis, ça me fait tellement bizarre de revenir dans une "grande" ville après près de 2 mois passés à la cambrousse >_<

Les Bagatelles Musicales a dit…

Oh malheur de ma vie ! ou plutôt de mon compte bancaire !
Je regarde presque en pleurant (hum...) toutes ces vitrines lorsque je n'ai plus d'argent pour les dévaliser !

Oui, malheur de mon existence ! je n'sais pas, c'est comme un remède pour tous mes cafards et puis une folie passagère pour récompenser tous mes efforts et réussites !
Si j'ai réussis j'achète pour me féliciter, si j'ai râté j'achète pour me consoler.

Il y aura toujours de bonnes raisons pour se ruiner au shopping !